8 octobre 2021
Femmes de France, réveillez-vous !
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Quel est donc ce pays où une jeune femme, répondant au prénom de Mila, est quotidiennement harcelée et menacée de mort, parce qu’elle a osé user de sa liberté d’expression pour critiquer une religion ?
Quel est donc ce pays qui a laissé vivre un calvaire à Shaïna, victime d’un viol collectif à 13 ans, tabassée deux ans plus tard pour avoir osé porter plainte contre ses agresseurs et brulée vive par son petit-ami car il ne voulait pas de l’enfant qu’elle portait ?
Quel est donc ce pays qui n’a pas su protéger Chahinez, immolée par le feu en pleine rue par son ex-conjoint violent ?
Quel est donc ce pays où une étudiante nommée Victorine ne rentrera plus jamais chez elle car tuée par noyade lors d’une mauvaise rencontre ?
Quel est donc ce pays qui accorde une carte de séjour à un radicalisé qui un an plus tard, attaquera au couteau à Rambouillet la fonctionnaire de police Stéphanie ,maman de deux adolescents ?
Combien de jeunes femmes se font importuner, voler, agresser, violer, chaque jour en France ? Combien seront traumatisées à vie par ce récidiviste dont la place était en prison ? Combien n’auraient jamais dû croiser le chemin de ce clandestin « déséquilibré » qui a traversé nos frontières si facilement ?
Les exemples ne sont que trop nombreux et se répètent inlassablement. Nous assistons, presque impuissants, à une banalisation de ces actes qui font l’actualité pendant quelques jours pour laisser place à une autre, comme si tout cela était normal, comme si nous devions nous habituer, comme si nous devions « vivre avec ». Les proches de ces victimes, eux, vivent sans. Sans le bonheur de voir son adolescente vivre sa jeunesse pleinement, comme Mila, sans pouvoir voir grandir sa fille, comme Shaïna et Victorine, sans le sourire de Chahinez, tuée car elle voulait vivre comme une française, sans l’étreinte de sa mère, pour les enfants de Stéphanie. Et cette phrase, qui traverse l’esprit de millions de français lors de ces drames : cela aurait pu être ma fille, cela aurait pu être ma mère, cela aurait pu être moi.
Nous nous sentons impuissants car nos gouvernants nous ont laissé croire que l’on ne pouvait rien y faire, que le risque zéro n’existe pas. C’est vrai. Mais des drames auraient pu être évités si la justice était moins laxiste, si nos frontières étaient contrôlées, et si nous donnions plus de moyens à nos forces de l’ordre pour se protéger et nous protéger.
A l’heure où des mères ont la boule au ventre en laissant partir leurs enfants à l’école, de peur qu’ils fassent une mauvaise rencontre, à l’heure où des femmes développent une stratégie d’évitement de certains quartiers, de certaines lignes de bus ou de métro, de certaines rues, des néo-féministes n’ont que pour solution l’élargissement des trottoirs et pour diagnostic ce mal français que serait le patriarcat et la domination du male blanc hétérosexuel.
Que c’est lâche, et quel cynisme !
D’autres répondent que la réponse serait dans l’éducation et la lutte contre les stéréotypes filles/garçons. Dans les manuels scolaires, on exalte la figure d’Olympe de Gouges et sa déclaration des droits de la femme, mais l’État est incapable de faire respecter ces mêmes droits dans n’importe quel quartier de France. Quel message envoie-t-on aux futurs citoyens ?
Quelle vision du féminisme donne-t-on lorsque l’on passe de Simone Veil à Alice Coffin, de Brigitte Bardot à Sandrine Rousseau ? Les néo-féministes ne sont là que pour tenter d’imposer de façon quasi totalitaire leur idéologie qui exclut les femmes qui ne pensent pas comme elles ou qui ne rentrent pas dans leur case de gauchiste. Nous n’avons rien à attendre de ces militantes qui n’ont pas dénoncé les centaines de viols commis par des migrants à Cologne en Allemagne au réveillon de 2015 et défendent le port du voile en France pendant que des iraniennes manifestent pour ne plus le porter dans leur pays. Le féminisme doit être universel ou ne doit pas être.
Ne serait-il pas temps de retrouver en France cette liberté de s’habiller comme on l’entend, sans craindre de se faire harceler ou agresser ? Cette liberté de pouvoir s’assoir dans n’importe quel café de France sans les regards d’hommes qui comptaient se l’approprier ? Ne serait-il pas temps de passer du sentiment d’insécurité à celui de sécurité ?
Impossible n’est pas français. Il est temps d’arrêter de se résigner. Il est temps d’agir. Allons-nous nous laisser faire face à la perte de nos droits acquis de haute lutte par nos mères, nos grands-mères ? Femmes de France, réveillez-vous ! Il est possible d’offrir un autre avenir à vos enfants, plus sûr, plus tranquille, plus serein. Le destin du pays est entre nos mains : utilisons notre droit, usons de notre devoir, et votons Marine Le Pen à l’élection présidentielle de 2022 ! Femme, mère de trois enfants, patriote, qui mieux qu’elle pour comprendre ce que nous vivons ?
Élue présidente de la République, elle fera du harcèlement de rue à connotation sexuelle un délit passible d’une peine de prison. Élue présidente de la République, elle nommera un ministre de la justice qui mènera les réformes nécessaires pour mettre hors d’état de nuire les délinquants sexuels. Les femmes ne craindront plus la libération anticipée de leur agresseur avec le retour des peines planchers. Ce sera le retour de la justice qui punit les coupables et protège les victimes. Élue présidente de la République, elle expulsera les clandestins, notamment parce qu’ils font peser un risque pour les femmes, ne partageant pas les mêmes mœurs que l’Occident et ne considèrent bien souvent pas qu’elles sont égales aux hommes.
Et à ceux qui considèrent qu’une femme n’exprime pas et ne peut pas incarner le pouvoir, qu’ils se souviennent que Marine Le Pen a dirigé le premier parti de France durant plus de dix ans. Accordons-lui notre confiance et confions-lui les clefs de l’Élysée pour offrir à notre pays une autre destinée.