Le choix des mots

C’est en 1539 que François Ier imposa le français comme langue officielle par l’Ordonnance de VILLERS COTTERETS.

Aujourd’hui, cette Commune de l’Aisne abrite la cité internationale de la langue française.
C’est grâce notamment à sa langue qu’un Pays peut rayonner dans le monde .
Au-delà de ce constat qui échappe aux partisans de l’écriture inclusive, le choix des mots est essentiel.

La politique n’échappe pas aux déviances de vocabulaire.

A longueur de temps, mais bien entendu particulièrement en périodes préélectorales, les mots « extrême droite « sont rabâchés par des perroquets à vocation d’épouvantails à corbeaux.
Pourtant, chacun peut retrouver ici ou là la définition de l’extrême droite.
Cette appellation recouvre des caractéristiques qui n’existent pas
dans les partis politiques patriotes.
Aimer la France ce n’est pas détester les autres, et un parti fasciste ou ouvertement raciste serait d’ailleurs interdit, et c’est tant mieux !

Les européistes patentés allant pour certains jusqu’à appeler de leurs vœux une Europé Fédérale( de Jean MONNET à Emmanuel MACRON)sont dérangés par ceux qui ne font qu’aimer leur Pays.

Or, aimer son Pays et donner la parole au Peuple est tout sauf de l’extrémisme de droite.

Dans son livre DE GAULLE avait raison, Gérard TARDY rappelle ces mots du Général « Le régime politique que nous entendons établir c’est la séparation et l’équilibre des pouvoirs, l’arbitrage direct appartenant au Peuple par le référendum ou la constitution ».

Or, c’est bien le référendum que nous réclamons.

Le même auteur rappelle encore cette citation du Général :

« Celui qui n’aime pas sa mère plus que les autres mères et sa patrie plus que les autres patries n’aime ni sa mère ni sa patrie ».

Qui oserait , sans tomber dans le ridicule, prétendre que le Général de GAULLE était d’extrême droite ?.

Comment être étonné de cette calomnie quand le Président de la République lui-même affirme qu’il n’y a pas de culture Française.

Les agriculteurs, entre autres, sont les victimes de cette mauvaise Union Européenne, que beaucoup oublient avoir appelé de leurs vœux.
Etre patriote ce n’est pas être d’extrême droite de même que vouloir une Europe des Nations ce n’est pas vouloir sortir de l’Europe.

Laissons la caricature aux imbéciles, le Peuple lui, n’est pas dupe.

François KOHN
Notaire Honoraire
Membre de l’Avenir Français