Face au volontarisme allemand sur l’hydrogène, la filière nucléaire française est une chance pour notre pays

Il s’agit d’un véritable changement stratégique : en 2018, Nicolas Hulot n’avait présenté qu’un plan de 100 millions d’euros avec des objectifs ridicules. A vrai dire, les gouvernements successifs avaient moqué jusqu’alors les visionnaires qui, telle Marine Le Pen, défendait la filière de l’hydrogène depuis plus de dix ans comme une chance pour la réindustrialisation de la France, notre indépendance énergétique et la transition écologique.