De terre d’accueil en terre d’écueil
De terre d’accueil en terre d’écueil Il n’est certes pas question de regretter la tradition de terre d’hospitalité de la France mais force est de constater que les règles de l’hospitalité ont été dévoyées. [...]
De terre d’accueil en terre d’écueil Il n’est certes pas question de regretter la tradition de terre d’hospitalité de la France mais force est de constater que les règles de l’hospitalité ont été dévoyées. [...]
Pendant 3 décennies, en qualité de responsable syndical, j'ai connu de nombreuses réformes sur les retraites. Marine LE PEN a construit son projet avec les forces vives : des salariés, des employeurs, des économistes... Enfin, nous sommes écoutés !
« De la Ferme à la fourchette », l’intitulé pour une fois non technocratique ou verbeux de la déclinaison agricole du Pacte vert (Green Deal dans la langue de nos « élites ») a de quoi attirer l’attention du citoyen concerné par l’avenir de notre agriculture et la faim dans le monde.
Au 1er janvier le gouvernement vient de revaloriser les pensions de base de 1,1%, pour soi-disant tenir compte de l’inflation alors que la prévision de celle ci pour l’année 2022 est de 2,7%. Si l’on ajoute la faible revalorisation de 2021 (0,4% pour une inflation à 1,6), on est loin du compte.
2021 se termine, l’occasion de faire le point sur le tourisme français et l’état de santé d’un secteur, oh ! combien important. Avant tout, un chiffre à prendre en compte : La fréquentation 2021 en baisse de 24 % en regard de 2019, 2020 étant une année de stagnation.
Début novembre, le président Macron lançait le « Contrat d'Engagement Jeune ». Le coût de la mesure est de 550 M€ pour 500000 jeunes sans formation et emploi. Ces jeunes de moins de 25 ans toucheront une allocation de 500 € par mois en échange d'une formation ou d'un accompagnement de 15 à 20 heures par semaine. Nos jeunes méritent mieux !
Quel est donc ce pays où une jeune femme, répondant au prénom de Mila, est quotidiennement harcelée et menacée de mort, parce qu’elle a osé user de sa liberté d’expression pour critiquer une religion ? Quel est donc ce pays qui a laissé vivre un calvaire à Shaïna, victime d’un viol collectif à 13 ans, tabassée deux ans plus tard pour avoir osé porter plainte contre ses agresseurs et brulée vive par son petit-ami car il ne voulait pas de l’enfant qu’elle portait ?
A l’issue des annonces effectuées en matière de sécurité par Emmanuel Macron le 10 septembre dernier à l’école de police de Roubaix, de nombreux élus s’étaient émus, à juste titre, du peu de place réservée à la « coproduction de sécurité » et à l’implication des collectivités territoriales dans les politiques de lutte contre la criminalité.
Mercredi dernier, le 30 juin 2021, deux agents de la SUGE, la brigade de sûreté ferroviaire de la SNCF, ont ouvert le feu et abattu un individu de 36 ans qui, armé d’un couteau, se montrait menaçant à l’égard d’un groupe d’enfants. A l’issue d’une garde à vue de 48 heures, ces deux agents ont été présentés à un juge d’instruction et mis en examen pour « meurtre ». Cet événement repose une fois de plus la question de la protection juridique des forces de l’ordre lorsqu’ils agissent dans le cadre de leurs missions.
Le maintien et le rétablissement de l’ordre public sont deux missions fondamentales pour tout État qui se respecte. Elles le sont d’autant plus, qu’elles se trouvent au carrefour d’une mission essentielle de sécurité publique et de sauvegarde des libertés individuelles normalement chères à toute démocratie.